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Enfermée dans une bouteille depuis 53 ans et arrosée seulement en 1972, une plante a créé son propre éco-système

Par Axel 15 février 2013 5031 Vues Pas de commentaire

Enfermée dans une bouteille depuis 53 ans et arrosée seulement en 1972, une plante a créé son propre éco-système

En 1960, par un beau dimanche de Pâque, David Latimer, un génie à la main verte, a planté un jardin dans une bouteille. Une plante qu'il a arrosée pour la dernière fois en 1972 avant de la sceller hermétiquement.   Au cours de ces 40 dernières années, le végétal (Tradescantia) a été complètement coupé du monde extérieur, sans aucune intervention humaine. Mr Latimer indique avoir seulement tourné la bouteille de temps en temps pour changer l’exposition à la lumière afin qu'elle se développe uniformément. « Sinon, c'est la définition d'un entretien minimal. Je ne l'ai jamais taillé, la plante semble avoir évolué avec pour seule limite, les parois de la bouteille. » Précise David Latimer. On peut se demander comment une plante peut réussir à survivre sans eau ni nutriments externes pendant près de 40 ans. Apparemment, la plante aurait créé son propre micro-écosystème. Malgré le fait qu’elle soit coupée du monde extérieur, la plante a pu absorber la lumière du soleil pour ensuite la convertir en énergie, assez pour se développer convenablement. Le cycle bien connu de la photosynthèse. Processus dont s'inspire la NASA pour son programme de plantation de jardins dans l'espace.

jardin-bouteille-01

Comment une plante peut grandir dans une bouteille ? Le concept du « Jardins dans une bouteille » fonctionne car l'espace étanche crée un écosystème totalement autonome dans laquelle les plantes peuvent survivre en utilisant la photosynthèse pour recycler les éléments nutritifs. La lumière du soleil est le seul élément externe nécessaire à la survit de la plante, puisque celui-ci fournit l'énergie dont ont besoin les plantes pour créer leurs propres nourritures et ainsi continuer à croître. La lumière brille sur les feuilles de la plante et est absorbée par des protéines contenant la chlorophylle. Une partie de cette énergie lumineuse est stockée sous la forme d'adénosine triphosphate (ATP), une molécule qui stocke l'énergie. Le reste est utilisé pour arracher des électrons à partir de l'eau, absorbée dans le sol par les racines de la plante. Ces électrons deviennent alors «libres» - et sont utilisés dans les réactions chimiques qui transforment le gaz carbonique en hydrates de carbone, libérant de l'oxygène. Ce processus de photosynthèse est le contraire de la respiration cellulaire qui se produit dans d'autres organismes, y compris les êtres humains, où les hydrates de carbone contenant de l'énergie réagissent avec l'oxygène pour produire du dioxyde de carbone, l'eau et l'énergie. Mais l'écosystème utilise également la respiration cellulaire pour biodégrader les matières en décomposition rejetées par la plante. Dans cette partie du processus, les bactéries à l'intérieur du sol du jardin dans la bouteille absorbent l'oxygène des déchets et le libère du dioxyde de carbone que la plante peut réutiliser. Et, bien sûr, la nuit, quand il n'y a pas de lumière pour déclencher la photosynthèse, la plante va également utiliser la respiration cellulaire pour se maintenir en vie en décomposant les nutriments préalablement stockés. Le jardin dans une bouteille fonctionne en environnement fermé, cela signifie que le cycle de l'eau est également un processus autonome. L'eau dans la bouteille est absorbée par les racines des plantes, est libérée dans l'air lors de la transpiration et se condense vers le bas dans le mélange de rempotage, où le cycle recommence. La photosynthèse crée de l'oxygène et rajoute de l'humidité dans l'air. L'humidité s'accumule à l'intérieur de la bouteille et les «pluies» la poussent vers le bas de la plante. Les feuilles mortes tombent et pourrissent au fond de la bouteille, ce qui crée également du dioxyde de carbone nécessaire à la photosynthèse donnant également des éléments nutritifs qui seront absorbés par les racines. L’aventure a commencé un dimanche de Pâques en 1960, lorsque M. Latimer a pensé qu'il serait amusant créer «par curiosité» un jardin dans une bouteille.

jardin-bouteille-03

Comment faire votre propre Jardin dans une bouteille. L'idée est de créer un monde dans un microcosme. Il aura son propre habitat et devrait nécessiter peu d'entretien, écrit NIGEL Colborn. Choisissez d'abord un récipient en verre. Il aura besoin d'un col large pour un accès facile. Un bocal est idéal, ou pour les enfants, un grand pot de confiture ferra parfaitement l’affaire. Vous aurez également besoin de terreau (de bonne qualité), de galets et bien sûr, de plantes. Utilisez une grande cuillère pour insérer une couche de gravier dans le bocal et couvrez avec du compost assez profondément pour accueillir les racines des plantes. Enfin, introduisez les plantes. Vous pouvez utiliser des fougères de la famille des Adiantum, des Tradescantia de la famille des Commelinaceae ou une Soleirolia, une herbacée vivace naine à racines traçantes, de la famille des Urticaceae. Placez chaque plante délicatement, en les ajustant avec un bâton ou avec des pinces de cuisine. Ajoutez une couche finale de sable après la plantation pour contenir le compost vers le bas ce qui donnera la touche finale à votre micro-jardin. Enfin arrosez le tout avec un soin extrême (votre pot n’aura pas besoin de beaucoup d’eau) et placez le jardin près d’un endroit bien éclairé, mais pas trop près d’une fenêtre orientée plein sud. source: neozone.org

De superbes bureaux au cœur de la nature ...

Par Axel 14 février 2013 20772 Vues Pas de commentaire
image Bureaux forêt SelgasCano

illustration pour Bureaux forêt SelgasCano

Le cabinet d'architecture Espagnol SelgasCano a mis au point il y a déjà quelques temps l'aménagement de leurs propres locaux dans un espace absolument magique ... Quelques photos qui me donnent bien fort envie de bosser dans un tel décor !

photo des bureaux SelgasCano U

ne superbe verrière occupe la moitié du volume qui s'ouvre de part et d'autre de l'espace de travail ... Le bâtiment est suspendu dans un écrin de verdure et s'apparente à un module architectural léger. Entre le préfabriqué et le camping car, mais vraiment beau ! :)

photo des bureaux SelgasCano

Une déco intérieure minimaliste et colorée qui donne une ambiance chaleureuse et studieuse à la fois. Une petite vue en photo des bureaux en pleine effervescence ...

photo des bureaux SelgasCano

J'adore et j'adhère, tout simplement. Voilà des cordonniers bien chaussés ! :)

Et vous, vous en pensez quoi ?

 

source: //happycommunity.aw/speakers-bio-selgascano.php

Les changements de saisons en vidéo !

Par Axel 3 décembre 2012 10077 Vues Pas de commentaire

Une vidéo magnifique que nous souhaitons vous faire partager pour débuter cette semaine.

Les changements de saisons

Bon visionnage !

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Une autoroute phosphorescente dès 2013 aux Pays Bas ?!

Par Axel 23 novembre 2012 16155 Vues Pas de commentaire

La pollution lumineuse est un véritable fléau pour la faune, la flore et de nombreux écosystèmes. Aussi, toutes les solutions qui pourraient remplacer les éclairages urbains par d'autres techniques sont les bienvenues et c'est en ce sens que les propositions de Daan Roosegaarde et de son équipe sont particulièrement intéressantes. Ce cabinet d'étude a en effet cherché à mettre en place des autoroutes plus "intelligentes" et qui pourraient communiquer d'une certaine manière avec les usagers. Une autoroute phosphorescente en test dès 2013.

autoroutes-phosphorescentes-copie-1.jpg

L'idée de départ consiste à faire un marquage sur le sol, avec une peinture spéciale phosphorescente, qui se charge de lumière la journée et qui la restitue la nuit, lorsqu'elle est éclairée par des phares d'automobiles. Ainsi, finis ces immenses réverbères qui longent et polluent nos autoroutes ! Imaginez un peu les économies que cela représente en terme d'électricité (encore un projet qui ne va pas plaire à EDF ! ) Et puis, au delà de l'aspect pollution lumineuse, cette technique permet de communiquer également avec les automobilistes en marquant le sol avec des dessins de  "gros flocons de neige" qui ne seront visibles que lorsque la température passera  par exemple sous la barre des 1°. Ainsi, l'automobiliste comprend que le sol devient glissant et qu'il faut adapter une conduite appropriée. Les premiers essais seront menés en 2013, aux Pays Bas....A suivre, donc. Bonne idée, non ? source: ecolodujour

Un lit en carton : écolo & humanitaire !

Par romain 2 septembre 2011 10484 Vues Pas de commentaire

Dormir sur un carton, un futur proche ? L’idée a de quoi surprendre. Pourtant, c’est le pari qu’ont fait Julien Sylvain et les designers du studio Nocc, Jean-Christophe Orthlieb et Juan pablo Naranjo. Ils ont créé le Leafbed, le premier lit en carton ondulé destiné à l’hébergement temporaire d’urgence. Monté avec quatre caisses en carton standard, liées les unes aux autres sans colle ni sangle, ce lit de fortune peut également se transformer à volonté en une table.

 

L’objectif de ce projet, né sur les bancs d’une école de commerce ? Rendre l’approvisionnement humanitaire plus efficace mais aussi plus respectueux de l’environnement, une considération qui passe largement au second plan dans les situations d’urgence. Les situations de crise humanitaire exigent en effet de la part des organisations internationales le déploiement extrêmement rapide d’une logistique complexe. Selon l’expression consacrée, autant essayer d’organiser des Jeux Olympiques sans connaître ni la date, ni le lieu, ni le nombre de spectateurs quelques heures auparavant. Un vrai casse-tête logistique !

 

Leafsupply a pris le parti de répondre de manière originale à ces problématiques avec son Leafbed en carton, dont le processus de production constitue à lui seul une innovation. Plutôt que de transporter des tonnes de carton produites à des milliers de kilomètres de la zone d’intervention, Leafsupply a noué un partenariat avec le plus grand réseau de cartonneries au monde, Smurfit Kappa. En cas d’alerte, les usines les plus proches de la zone de catastrophe sont mises à contribution pour produire les Leafbed nécessaires aux sinistrés. Un procédé qui permet de réduire la facture liée au transport et les émissions de dioxyde de carbone. Ajoutons à cela le fait que le carton est entièrement recyclable et biodégradable,   et le Leafbed peut s’enorgueillir d’un bilan carbone positif  ! Mais il y a plus : en optant pour une production à l’échelle locale, Leafsupply prend le parti de faire d’une catastrophe humanitaire l’opportunité d’un développement économique de la région.   En quelque sorte un bien pour un mal.

 

L’avantage par rapport à un lit de camp classique ? Le matériau tout d’abord : disponible en quantité partout dans le monde à un coût relativement faible, résistant et recyclable, le carton a tout pour plaire. Le Leafbed, simple   et rapide à produire avec une capacité de plusieurs milliers de lits en quelques heures, permet également de réagir au plus vite aux situations de détresse humanitaire. Alors que le lit de camp, produit et stocké loin des zones touchées requiert des délais plus longs.

 

Les sceptiques craindront que le carton ne s’effondre sous le poids du dormeur, ni ne résiste à un usage prolongé. Pour faire taire les critiques, le Leafbed a été soumis à une batterie de tests dans des conditions extrêmes pour éprouver sa résistance à la charge – il peut supporter jusqu’à 300 kilos – et à l’humidité ou les hautes températures – il ne se délite pas, même à un taux d’humidité de 75% et un mercure à 40°C. Il résiste même aux   brûlures de cigarettes que les maladroits auraient laissé tomber sur leur couchage. Les concepteurs ont poussé le souci de qualité jusqu’à réaliser des tests d’ergonomie. Verdict ? Même sans matelas, il est possible de dormir de manière relativement confortable sur le Leafbed. Les premiers déploiements ont été effectués dans des villages au Niger, avec 99% de satisfaits parmi les personnes suivies.

 

Alors, convaincus ? Si le Leafbed est d’abord destiné aux situations de détresse humanitaire, Julien Sylvain et ses acolytes envisagent dans un futur plus lointain d’en élargir l’accès à tous les publics sur le principe Buy One Give One : pour tout Leafbed acheté dans le commerce, Leafsupply s’engagerait à en fournir un gratuitement là où le besoin s’en fait sentir. « Nous réfléchissons à plus long terme à un partenariat avec une grande enseigne de l’ameublement », nous confient les fondateurs. Mais pour cela, il faudra attendre encore un peu. Maintenant que les tests en laboratoire et sur le terrain ont prouvé la résistance et l’utilité du Leafbed, il doit encore faire ses preuves à plus grande échelle. Après une vente à l’Ordre de Malte, Leafsupply est en négociations avec d’autres organisations pour développer l’usage du Leafbed.

 

(Source : durable.com)

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Combien de CO2 pèsent un mail, une requête Web et une clé USB ?

Par romain 22 juillet 2011 13957 Vues Pas de commentaire

Surfer sur le Net, envoyer un email, télécharger des documents, les partager : toutes ces actions ont un poids pour la planète, d’autant plus important que nous sommes actuellement 1,5 milliard d’internautes à naviguer sur le Web quasi quotidiennement, tant pour notre vie professionnelle que personnelle.

 

Les technologies de l’information et de la communication (TIC) contribuent ainsi à hauteur de 2 % aux émissions européennes de gaz à effet de serre, selon un rapport de septembre 2008 réalisé par l'agence d'évaluation environnementale BIO Intelligence service pour la Commission européenne. Ce chiffre devrait doubler d’ici 2020, si nous ne changeons pas nos modes de vie. Afin de mieux connaître, comprendre et maîtriser l’impact environnemental des TIC, l’Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) publie, jeudi 7 juillet, une analyse du cycle de vie (ACV) de trois de leurs usages emblématiques : les courriers électroniques, les requêtes effectuées sur Internet et les supports de transmission de documents tels que les clés USB.

 

Les emails. Chaque jour, c'est une inflation de messages qui se bousculent dans nos boîtes : des courriels professionnels, des messages personnels mais aussi d'innombrables newsletters, chaînes de mails ou publicités. Au final, 247 milliards de courriers électroniques ont été envoyés chaque jour dans le monde en 2009, en incluant les spams, et ce chiffre devrait grimper à 507 milliards d'ici trois ans, selon le site Arobase.

 

En France, chaque salarié, dans une entreprise de 100 personnes, reçoit en moyenne 58 courriels par jour et en envoie 33. A raison d'une taille moyenne d'1 Mo — chiffre de base des calculs, probablement excessif — l'Ademe a calculé que ces envois d'emails dans le cadre professionnel génèrent chaque année des émissions de gaz à effet de serre effarantes : pas moins de 13,6 tonnes équivalent CO2 à l'échelle de l'entreprise de 100 personnes — soit environ 13 allers-retours Paris-New York — ou encore 136 kg équivalent CO2 par salarié.

 

En cause, l'utilisation d'énergie engendrée par le fonctionnement des ordinateurs de l'émetteur et du destinataire du mail, la production de cet ordinateur et notamment de ses composants électroniques — puisque l'ACV, contrairement au bilan carbone, étudie l'impact environnemental intégral d'un élément — ainsi que le fonctionnement des data centers, qui stockent et traitent les données.

 

Le but de l'Ademe n'est bien sûr pas d'inciter à préférer les courriers traditionnels aux mails mais d'expliquer comment en faire usage d'une manière plus respectueuse de l'environnement. Pour réduire cette pollution, l'ACV pointe en premier lieu l'importance du nombre de destinataires. Ainsi, décupler leur nombre multiplie par 4 les émissions de gaz à effet de serre tandis que soustraire un destinataire permet de gagner 6 g équivalent CO2, soit 44 kg par an et par employé. Au final, "réduire de 10 % l’envoi de courriels incluant systématiquement son responsable et un de ses collègues au sein d’une entreprise de 100 personnes permet un gain d’environ 1 tonne équivalent CO2 sur l’année", note l'Ademe. Ce gain augmente évidemment avec la taille des courriels : pour des mails de 10 Mo et non plus 1 Mo, ce sont 8 tonnes d'équivalent CO2 qui sont économisées.

 

Le stockage des mails et des pièces jointes sur un serveur est aussi un enjeu important : plus le courriel est conservé longtemps, plus son impact sur le changement climatique sera fort, assure l'Ademe. Enfin, plus attendu, l'un des postes majeurs d'émissions de gaz à effet de serre liés aux emails réside dans leur impression. Réduire de 10 % le taux d’impression permet d’économiser 5 tonnes équivalent CO2 sur un an dans une entreprise.

 

Les requêtes Web. C'est le propre d'Internet : se balader de page en page et de lien en lien sans fin. Un internaute français effectue ainsi en moyenne 2,66 recherches sur Internet par jour, soit 949 recherches par an, selon l'institut Médiamétrie.

 

Mais surfer sur le Net s'avère polluant pour l'environnement dans le sens où les serveurs consomment de l'électricité et dégagent de la chaleur. Selon l'Ademe, la recherche d’information via un moteur de recherche représente au final 9,9 kg équivalent CO2 par an et par internaute. Comment réduire cet impact ? Utiliser des mots clés précis lors des recherches, saisir directement l'URL lorsqu'on la connaît, enregistrer les sites que l'on utilise souvent dans ses "favoris" : autant d'actions qui permettent de gagner 5 kg éq CO2 par an et par personne.

 

La clé USB. Ce dernier usage, jusqu'à présent moins étudié, concerne à la fois l'impact de la production d'une clé USB et la lecture des fichiers qu'elle permet de stocker. Au total, transmettre un document de 10 Mo à une personne via une clé USB de 512 Mo émet 11 g d’équivalent CO2. Dans le cas d'un fichier transmis à 1000 personnes, lors d’un colloque par exemple, les émissions grimpent et équivalent celles engendrées par un trajet de 80 kilomètres en voiture.

 

Comment expliquer cet impact ? La production de la clé USB, qui nécessite beaucoup d'énergie, d'eau et de métaux rares, est le poste le plus polluant du cycle de vie. Vient ensuite la consommation énergétique de l’ordinateur sur lequel est utilisée la clé. Selon l'Ademe, si le temps de lecture du document n’excède pas 2 à 3 minutes par page, la lecture à l’écran est celle qui a le moins d’impact sur le changement climatique. Au-delà, l’impression du document en noir et blanc, recto-verso et 2 pages par feuille devient préférable pour réduire les émissions.

 

(Source : Le Monde)

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Un manège écolo

Par romain 20 juillet 2011 11266 Vues Pas de commentaire

C’est mercredi 6 juillet qu’était inauguré le premier manège écolo à Paris et plus précisément à deux pas de la Tour Eiffel.

 

Les jeunes clients de cette attraction devront pédaler sur les chevaux de bois, afin de créer de l’énergie électrique, s’ils veulent profiter d’un tour de manège. Qui plus est, le carrousel est équipé de panneaux photovoltaïques et malgré tout le prix d’un ticket de ce manège, résolument écologique, est équivalent au prix d’un ticket de manège traditionnel sauf que là vos bambins préservent la planète!

 

 

 

Source: //www.bfmtv.com

Une maison en palettes de bois et paille

Par romain 15 juillet 2011 12924 Vues Pas de commentaire

Une maison écologique en palettes de bois et paille dans le Calvados

 

Une fois n’est pas coutume, nous nous faisons l’écho d’un quotidien régional : Sud Ouest. Plus précisément, nous voulons nous faire l’écho d’une initiative écologique intéressante, une de ces actions qui contribuent petitement mais concrètement à bâtir un monde plus écologique et durable.

 

Dans une commune du Calvados, Saint-Pierre-Tarentaine, des artisans, un enseignant et des collégiens se sont lancés dans la construction d’une maison écologique avec des matériaux de récupération ou naturels: principalement des palettes en bois et de la paille.

 

L’équipe a d’abord commencé par construire des « modules » de 2 mètres sur 1 mètre, puis ces modules ont été emmenés pour être montés sur le chantier.

 

Outre les difficultés techniques liées à la construction, l’équipe a du contourner plusieurs types de contraintes pour mettre en œuvre son projet : logistiques, réglementaires et financières. Mais la maison est sortie de terre depuis une dizaine de jours et avance bien aux dernières nouvelles.

 

Bien sur ce projet de changera pas le bilan carbone de la France, mais il atteindra surement plusieurs « objectifs écologiques » concrets : une habitation utilisable bâtie à partir de produits écologiques et une sensibilisation de fond pour des adolescents qui seront certainement à l’avenir des ambassadeurs de ce type de construction. On est quand même loin des gesticulations médiatiques de certains projets pseudo-écologiques qui ne font pas avancer grand-chose …

 

(Source : EcologieBlog)

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Recyclez vos magazines !

Par romain 13 juillet 2011 11556 Vues Pas de commentaire

Lecteurs réguliers de magazines en tous genres, vous êtes forcément tombés sur cette affiche ci-contre. Personnellement, c’est en lisant un magazine féminin que j’ai découvert Ecofolio un éco-organisme qui organise la collecte, le tri et le recyclage des papiers. Un partenariat avec plus de 50 magazines permet de sensibiliser les lecteurs sur l’importance du tri des papiers.

 

À propos d’Ecofolio:

 

« EcoFolio est l’éco-organisme des papiers qui organise, finance et accompagne la collecte, le tri et le recyclage des papiers. Sa mission d’intérêt général lui a été confiée par l’État en 2007. Grâce à l’éco-contribution versée par les émetteurs et fabricants de papiers, le soutien financier au recyclage favorise un développement durable de la filière papiers. EcoFolio assure une mission environnementale et citoyenne (optimisation des opérations de collecte et de recyclage, sensibilisation des citoyens au geste de tri) dans un souci de performance écologique et économique ». (source: //www.ecofolio.fr/espace-presse).

 

Ci-dessus, un petit coup d’oeil sur le visuel « très glam » de la campagne de communication de l’année dernière.

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Un steak à base de matière fécale humaine

Par romain 6 juillet 2011 4755 Vues Pas de commentaire

Au Japon, une nouvelle solution de recyclage des boues d’épuration vient de faire son apparition. Il s’agit d’un steak issu de matière fécale humaine. D’après les chercheurs, c’est une invention à la fois écologique et diététique, ayant le même gout que la viande de bœuf !

 

Au Japon, le problème est simple. Il y a plus de boue d’épuration que d’usine de traitement. C’est pourquoi des chercheurs à Tokyo se sont lancés sur une étude visant à transformer la matière fécale humaine en steak. Il s’agirait d’extraire les protéines pour les recycler.

 

D’après le professeur Ikeda, c’est mission accomplie ! Les protéines sont extraites et les bactéries tuées par haute température. La couleur rouge est donnée par des colorants alimentaires, et le goût à l’ajout de protéines de soja. D’après un test auprès des consommateurs, ce steak artificiel aurait le même gout qu’un steak de bœuf !

 

Et vous, ça vous tente ?

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